"Le projet a obtenu un vaste soutien du Conseil" des chefs d'Etat et de gouvernement des 27 pays de l'Union européenne, réunis jeudi à Bruxelles, a indiqué le Premier ministre slovène Janez Jansa, dont le pays préside l'UE. "Il s'agit maintenant d'y travailler dans les différences instances, il s'agit de faire le nécessaire pour que ce projet voit le jour", a-t-il ajouté.
Pour vaincre les réticences de plusieurs pays, en particulier de l'Allemagne, la France a dû mardi revoir en baisse ses ambitions pour ce projet.
La Commission européenne, qui a le plus à perdre dans le projet originel qui prévoyait de n'associer que les pays riverains de la Méditerranée, a donné le signe du ralliement. "En ce qui concerne l'Union méditerranéenne, nous la soutenons pleinement", a déclaré son président, José Manuel Barroso. L'accord de l'Allemagne semble avoir rassuré tout le monde.
La France voulait initialement limiter le périmètre de l'UPM aux seuls 22 pays strictement riverains de la Méditerranée, plus le Portugal, la Jordanie et la Mauritanie, ce qui avait suscité la colère d'Angela Merkel, qui évoquait une division de l'UE. Un projet qui se tient debout pour plus qu'une raison; mais que peut on dire quant à une éventuelle intégration de l'état hébreu au sein de l'UE ? Les pays qui ont boycotté, hier, la foire du livre à Paris seraient elles prêtes à appartenir à un même espace économique et culturel auquel appartient l'état hébreu ? Jusqu'où pourra aller la politique d'improvisation (déjà très mal digéré par Angela Merckel) que pratique Nicolas Sarkozy ?
Pour vaincre les réticences de plusieurs pays, en particulier de l'Allemagne, la France a dû mardi revoir en baisse ses ambitions pour ce projet.
La Commission européenne, qui a le plus à perdre dans le projet originel qui prévoyait de n'associer que les pays riverains de la Méditerranée, a donné le signe du ralliement. "En ce qui concerne l'Union méditerranéenne, nous la soutenons pleinement", a déclaré son président, José Manuel Barroso. L'accord de l'Allemagne semble avoir rassuré tout le monde.
La France voulait initialement limiter le périmètre de l'UPM aux seuls 22 pays strictement riverains de la Méditerranée, plus le Portugal, la Jordanie et la Mauritanie, ce qui avait suscité la colère d'Angela Merkel, qui évoquait une division de l'UE. Un projet qui se tient debout pour plus qu'une raison; mais que peut on dire quant à une éventuelle intégration de l'état hébreu au sein de l'UE ? Les pays qui ont boycotté, hier, la foire du livre à Paris seraient elles prêtes à appartenir à un même espace économique et culturel auquel appartient l'état hébreu ? Jusqu'où pourra aller la politique d'improvisation (déjà très mal digéré par Angela Merckel) que pratique Nicolas Sarkozy ?
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