2010-07-16

Janet JACKSON, Roberto CAVALLI et Marco TRONCHETTI pour un RDV très VIP à Hammamet

La diva américaine Janet JACKSON, le styliste italien Roberto CAVALLI et le business man italien Marco TRONCHETTI (accompagné de sa femme le mannequin tunisienne Afef JNIFEN) seront tous à l'hôtel SINDBAD à Hammamet ce Samedi 17 Juillet. Ils assiteront à la présentation du dernier modèle de la PORSCHE CAYENNE.
Il est vrai que la Tunisie, notamment Hammamet, est devenue ces dernière année la destination préférée de plusieurs célébrités du monde du business, de l'art et de la politique. Plusieurs y passent régulièrement leurs vaccances. Que se soient pour prendre du soleil au bord de leurs Yacht ou pour pratiquer le Golf et passer des séance de Spa et de bien être, ces ticons sont de plus en plus nombreux à apprécier la destination Tunisie. La soirée coincide avec un évènement de taille pour l'entreprise ENNAKL Automobiles (le distributeur de la marque Porsche en Tunisie) : elle vient de réussir une double introduction en bourse sur la place de Tunis et de Casablanca au même temps; une première pour les entreprises maghrébines.
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The americain singer Janet JACKSON, the italien modeler Roberto CAVALLI and the italian business men Marco TRONCHETTI (the husband of the tunisian top model Afef JNIFFEN) will assist this Saturday to the presentation of the model of the PORSCHE CAYENNE car. The event will be celerated in SINDBAD Hotel in Hammamet in Tunisia. A very JetSet VIP event !
Many bussiness, art or politics celebrities has used to pass their vaccation in Tunisia and especially in Hammamet. Some of them prefere Yachts and sea and others come to enjoy Thalassotherapy and Spa or to practice Golf.

2010-07-06

La plus grande introduction en bourse vient de la Chine

Agricultural Bank of China (AgBank), troisième banque chinoise, a fixé le prix de sa double introduction en Bourse à Hong Kong et à Shanghai, ce qui devrait lui permettre de lever plus de 22 milliards de dollars (17,5 milliards d'euros) en hypothèse haute, plus grosse mise sur le marché jamais réalisée. La première journée de cotation aura lieu le 15 juillet à Shanghaï et le lendemain à Hong Kong. L'annonce officielle du prix est prévue pour mercredi. AgBank, fondée par Mao Zedong en 1951, exploite un réseau important de succursales dans les campagnes chinoises ainsi que dans les grandes villes. Il y a trois ans, AgBank était techniquement en faillite. Son redressement, à l'issue d'un sauvetage de 30 milliards de dollars, a été favorisé par la forte croissance que connaît le pays et le contrôle de l'Etat sur le secteur bancaire. A Hong Kong, AgBank a vendu 25,4 milliards de titres, soit 8% de son capital élargi, au prix de 3,20 dollars de Hong Kong pièce, soit au total 10,4 milliards de dollars américains, a-t-on déclaré mardi de source proche du dossier. La banque avait resserré lundi sa fourchette de prix, entre 3,18 et 3,38 dollars hong-kongais par action, contre une fourchette initiale de 2,88 à 3,48 dollars.  A Shanghai, le prix a été fixé au sommet de sa fourchette indicative qui débutait à 2,52 yuans. AgBank vendra pour 22,24 milliards d'actions A libellées en yuans au prix de 2,68 yuans pièce, soit 59,6 milliards de yuans (8,8 milliards de dollars). Au total, AgBank lèvera 19,3 milliards de dollars par le biais de sa double cotation et même 22,2 milliards de dollars si l'option de surallocation est exercée, une hypothèse fort probable au vu de la demande. Auparavant, la plus grosse introduction en Bourse jamais réalisée avait été celle d'Industrial & Commercial Bank of China avec 21,9 milliards de dollars en 2006.
China International Capital Corp (CICC), Deutsche Bank, Goldman Sachs, JPMorgan, Macquarie et Morgan Stanley sont les banques organisatrices de l'opération à Hong Kong, avec la société de Bourse d'AgBank.
Pour la mise sur le marché à Shanghai, les banques sont CICC, Citic Securities, Galaxy et Guotai Junan Securities. AgBank se fait coter en Bourse pour permettre au gouvernement d'atteindre son objectif, à savoir avoir les quatre plus grosses banques du pays cotées en Bourse. Après avoir pour plusieurs d'entre elles connu des périodes d'insolvabilité, elle figurent maintenant parmi les plus importantes banques - et sociétés - en termes de capitalisation boursière. De source au fait du dossier, on indique que l'offre d'AgBank à Shanghai a été environ 20 fois sursouscrite par les investisseurs institutionnels. A Hong Kong, la demande institutionnelle provenait à 4% d'Asie, 30% des Etats-Unis te 25% d'Europe, selon une des sources concernées. Les particuliers se sont en revanche montrés peu enthousiastes, à Shanghai, comme à Hong Kong. L'introduction en Bourse, option de surallocation comprise, valorise AgBank à environ 150 milliards de dollars (près de 120 milliards d'euros), ce qui en fait la quatrième banque mondiale en terme de capitalisation boursière derrière ICBC, China Construction Bank et HSBC. Présidée par Xiang Junbo, scénariste titré et héros de guerre, AgBank exploite 24.000 agences, emploie 441.000 personnes et revendique 320 millions de clients. Le prix retenu pour AgBank apparaît de bon augure pour les quatre banques chinoises souhaitant lever des capitaux comme c'est le cas pour Bank of China et ICBC.
La Bourse de Shanghai a perdu près de 25% depuis la mi-avril et fortement baissé la semaine dernière, en partie parce que les investisseurs ont vendu des actions pour participer à l'offre d'AgBank.

France Telecom anonce un plan de recrutement de 10 000 salariés en deux ans

L'opérateur télécoms, qui a réitéré sa prévision de huit milliards d'euros de cash-flow organique par an en 2010 et 2011, compte décliner ce projet en un plan financier d'ici à l'automne.
"On fait un plan à cinq ans parce qu'on estime que si on veut être crédible il faut qu'on ait le temps (...). On ne change pas la culture d'une entreprise en six mois ou un an", a déclaré Stéphane Richard, le directeur général du groupe, lors d'une conférence de presse.
France Télécom vise 300 millions de clients d'ici à 2015 (soit 1/5 de la population du monde) sur l'ensemble de ses marchés, contre 200 millions aujourd'hui.
Il compte se renforcer dans les pays à forte croissance pour atteindre cet objectif, en Afrique et au Moyen-Orient, grâce notamment à des acquisitions, et il est en particulier prévu un doublement du chiffre d'affaires dans la zone "émergents" d'ici cinq ans.
France Télécom a fait savoir qu'il modifierait sa politique dans les contenus, qui misait sur l'acquisition de droits, pour privilégier des prises de participation minoritaires, ainsi que des partenariats industriels, de distribution et de recherche.
Pour les chaînes de télévision Orange Sports et Cinéma, Stéphane Richard a précisé que France Télécom n'avait pas vocation à rester actionnaire à 100%, et que le groupe comptait chercher un partenaire, notamment pour enchérir éventuellement sur les droits du foot en 2012.
Séphane Richard a ajouté que le groupe n'augmenterait pas globalement les moyens qu'il alloue aux contenus, et que l'enveloppe de l'ordre de 400 millions d'euros par an dans ce domaine n'était pas remise en cause.
Prié de donner des exemples de partenariats possibles, Stéphane Richard a cité des discussions exclusives "très avancées" en vue d'entrer au capital de Deezer, le groupe de diffusion de musique sur internet, à l'occasion du lancement d'un site commun.
"Ce qui est important, c'est d'être beaucoup plus large dans les contenus visés", a expliqué Stéphane Richard à Reuters, citant la presse et le livre numériques comme exemples.
Un plan visant 10.000 embauches en 2010-2012 a également été anoncé.

2010-07-05

Lorsque Lagarde invente un Néologisme

La ministre Française de l'Économie Christine Lagarde a fini par inventer une néologisme en décrivant la politique française d'austérité. Il s'agit de "rilance" : "un mélange de rigueur et de relance" a affirmé la ministre. Elle a ajouté "Relance ou rigueur, ce n'est pas un choix, ce n'est pas un noeud gordien pour moi" [...] "réduire la dépense publique là où ce sera le moins douloureux pour la perspective de relance de l'activité économique". Au moment où dans d'autres pays Européens, les politiciens n'existent pas à utiliser le mot rigueur; les Français contournent ce mots en empruntant des mots moins forts. Nous pensons qu'il s'agit d'un alignement à l'attitude du premier ministre François Fillon qui a refusé d'utilisé ce terme au déclenchement de la crise grecque. Nous pensons, également, que les politiciens Français évitent de comparer l'étape actuelle à celle de l'époque François Mitterrand où réduction de dépenses publiques et hausse de la TVA ont entrainé, systématiquement l'usage du terme Rigueur. Quoi qu'il en soit, rigueur ou rilance, il s'agit de l'austérité.
En outre, le mot est quelque sort une conséquence du dernier G20. Lors de ce meeting, tous les états se sont mis d'accord sur la nécessité d'adopter des mesures d'austérité sans nuire à une croissance qui est d'ore et déjà molle et à une reprise encore dans l'œuf. Mieux, les États-Unis ont beaucoup insisté pour que les Européens ne mettent pas tous en œuvre en même temps des plans d'austérité, redoutant que cela tue la reprise. Un compromis qui reste emblématique.