More details at http://java.sun.com/javase/6
Le Maghreb, une mode Economique... Une inclinaison aux exigences de la Mondialisation ! //// The Maghreb, an Economic fashion... An adhesion in the Globalization !
2007-01-23
Java SE 6
JavaSE 6 is finally out in its glorious FCS bits. James Gosling has annouced it on Monday December 11, 2006. Congratulations!!!
2007-01-18
Why I love Java, Why I love LINUX ?
The two are Open source... (Java has become recently Open source)
The two are reliable...
The two have become a part of my life...
The two are my twins...
The two are reliable...
The two have become a part of my life...
The two are my twins...
But,
Pay attention ! This doesn't means that Java and Linux are usually
the best. It depends on your needs and requirements; a good architect
mustn’t forget that.
PS. : Sorry Marc Fleury, I borrow your title cliché (snap)...
PPS.: Marc Fleury is the JBoss Master and the author of the famous Bleu "Why I Love EJBs ?"
Pay attention ! This doesn't means that Java and Linux are usually
the best. It depends on your needs and requirements; a good architect
mustn’t forget that.
PS. : Sorry Marc Fleury, I borrow your title cliché (snap)...
PPS.: Marc Fleury is the JBoss Master and the author of the famous Bleu "Why I Love EJBs ?"
TUNISAIR, ça Bouge !
Après la success Story qu'était Matel (la filliale de Tunisie Telecom qui a mis en place le réseau cellulaire GSM en Mauritanie), c'est au tour de Tunis Air de conquérir le marche Mauritanien. Nous venons d'apprendre qu'une nouvelle compagnie a vu le jour; il s'agit de Mauritanie Airways. Elle se présente comme le fruit de la coopération entre le Groupe mauritanien Bouamatou, l'Etat mauritanien et Tunisair. Le capital de Mauritania Airways est réparti comme suit : Tunisair 51%, Groupe Bouamatou 39% et Gouvernement mauritanien 10%. La nouvelle compagnie démarrera ses activités au mois de mars 2007 et offrira des dessertes intérieures et internationales de manière à consolider le réseau du transport aérien mauritanien. L'assemblée générale de cette société se tiendra bientôt.
2007-01-13
Anouar Brahem : Le Virtuose / The Virtuoso
Après "le Pas du chat Noir", l’artiste tunisien Anouar Brahem obtient le prix "Edison Award"(dans la catégorie world) pour son noueau disque "Le Voyage de Sahar". Le prix est considéré comme l'un des plus prestigieux prix de musique dans le monde. L'Edisson Award est l'équivalent du Grammy Award aux USA, Le Grand Prix du disque en France ou le Deutscher Schallplattenpreis en Allemagne (prix que d'ailleurs Anouar Brahem a déjà obtenu en 1998 pour son disque "Thimar"). Annonçant le palmarès, le jury de la fondation hollandaise Edison s'est exprimé en ces termes: "Le musicien tunisien Anouar Brahem propose avec "Le voyage de Sahar" un album époustouflant, beau et intense". Des sources dignes de fois, nous ont affirmé qu'Anouar Brahem présentera son "Voyage de Sahar" à Tunis au cours du premier semestre 2007. Les laureats 2006 des Edisons Jazz/World sont : le luthiste tunisien Anouar BRAHEM (section world), le trompettiste néerlandais Eric VLOEIMANS, Andrew HILL (section jazz) et Raraf de HAIDOUKS (section vidéo). La diva Rita Reys (82 ans) a reçu un prix pour l'ensemble de ses oeuvres. Anouar a prouvé encore une fois son talent de super virtuose et a confirmé le grand bien que nous pensons de lui. Affichons au monde la bravoure du petit génie Maghrebin !
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After his album "le Pas du chat Noir, The black cat pace", the Tunisian lutenist jazz artist Anouar Brahem has got the "Edition Award, World category" for his new work "Le voyage de Sahar, The Sahar Travel". The prize is dramatically prestigious. Anouar promises his faithful Tunisian public to show this new work in Tunisia before the second half of 2007.
2007-01-12
De "Kahloucha VSH" à la "StarAcademy Maghreb" : Quand la simplicité crée l'Art.../When simplicity make the Art...
Ce n'est pas un maxime que nous essayons d'inventer, mais il s'agit d'une réalité qui pourrait être vérifiée un peu partout, en occurrence au cinéma et à la télé. D’ailleurs la monté ahurissante des « Reality Show » télévisés le prouve. Cette pensée nous a sauté à l’esprit après avoir regarder le nouveau né de Nejib Belkadhi : le film «Kahloucha VHS». Qu’il soit à sa projection lors des journées « Doc à Tunis », aux JCC ou à sa sortie officielle dans les salles (Lundi 8 janvier), la même image d’un publique « affamé » s’est, partout, répétée. Ce fut la ruée ! Au moment que les films de fiction trouvent du mal à se vendre à nos salles, un film présente l’exception. Mieux encore, après avoir gagner le « Muhr d’or » à Dubai pour la catégorie des films documentaires, Néjib Belkhadi exposera son oeuvre à Sundance aux USA (festival présidé par Robert Redford) et à Göetborg au Suède. Expliquons.
« Kahloucha VSH »
Le film relate l’histoire d’un grand féru des films des années 70 ; Moncef Kahloucha, peintre en bâtiments. Il tourne des fictions hilarantes en VHS avec l'aide des habitants du quartier populaire Kazmet à Sousse ; il les produit, les réalise et y incarne toujours le rôle principal. Ses tournages sont alors l’occasion pour les habitants de son quartier d’échapper à leur quotidien morose et de vivre des moments intenses, de la préparation jusqu’à la projection dans le café du coin. La caméra de Néjib Belkhadi a suivi Kahloucha pendant qu’il bouclait son opus intitulé « Tarzan des Arabes ». L’histoire, étant très simple, n’a à première vue aucune chance d’être transformée en film, encore moins de susciter l’attention d’un publique ouvert sur tous les cinémas du monde. Mais, il s’est avéré par expérience qu’au sein du monde de béton où nous vivons, nous nous trouvons en enquête d’une histoire simple qui rompe avec les thèmes excessivement ressassés par le cinéma de ces temps. Nous pensons, en outre, que Néjib s’adhère de plus en à la « Reality Show ». D’ailleurs, nous croyons que l’histoire fut provoquée pour filmer un monde aussi énigmatique qu’un quartier populaire. Ce raisonnement se confirme en se rappelant des débuts de de cet enfant de la Marsa avec la production. Depuis « Chams Alik » ( qu’il a produit lorsqu’il était à Canal+ Horizon) jusqu’aujourd’hui, Néjib Belkadhi est resté fidèle à lui même et à ses convictions : filmer les citoyens qui se trament dans l’ombre sans retouche ni grimage. Ainsi, il a prouvé que la persévérance est, désormais, la clef de la réussite. A travers « Khaloucha VHS », il a su capitaliser un background cinématographique et a réussi à attirer de nouveau le public de « Chams Alik » qui s’est grandi en âge.
Il s’est avéré par expérience qu’au sein du monde de béton où nous vivons, nous nous trouvons en enquête d’une histoire simple qui rompe avec les thèmes excessivement ressassés par le cinéma de ces temps. Par ailleurs, nous avons admiré la façon dont Néjib Belkadhi a fait communiquer son film. La modernité et la diversification des supports était frappantes ; nous énumérons des blogs, un site web dédiée, des bandeaux publicitaires sur le Net et à la presse, des bondes annonces à la radio, des expositions VIP, des affiches décorant les clubs de Jazz et les restaurants les plus branchés et des voitures "capotées" d'images et de régies annonçant « Kahloucha VHS » qui fessaient le tour du grand Tunis. Et pour provoquer le « bouche à oreille », Khaloucha a été présent en chaire et en os à l’Africa (salle qui fut renouvelée totalement avant d’accueillir le film) ; le publique a donc eu l’occasion de découvrir combien il est simple cet homme : il déclare pompeusement qu’il produisait déjà cinq films et qu’il travaille sur le sixième ; il s’agit de « Polo Awaaj » ! Bravo Néjib ! Une compagne communicationnelle jamais vue pour un film tunisien. Une vrai cacophonie ! Un vrai travail de Pro qui vient démentir ceux qui affirment que les Tunisiens, plutôt intéressés par les films piratés et les chaînes spécialisées Ciné, ne sortent plus aux salles de cinéma. Khaloucha et Najib Belkhadhi ont prouvé qu'il fallait juste des idées novatrices et motrices. A ce sujet, Néjib a certainement beaucoup appris dès son jeune âge à l'IHEC. Encore, un tel succès n'est guerre étrange lorsqu’il vient de la part d'un ancien de «Canal+ Horizons ». Cette école, nous a déjà enfanté "Mourad Zeggidi", "Moez Ben Gharbia", "Sawsen Maalej", "Kalil" (qui travaille à Nour chez Karoui&Karoui) et la grande "Salwa Samawi" (une chasse tête réussi l'a fait enroulée d'Alcatel Tunisie vers K&K et dernièrement de ce dernier vers Microsoft Tunisie).
La “ Star Academy Maghreb »
Le succès qu’a connu Néjib Belkadhi nous pousse à prévoir tant de bien pour la « Star Academy Magreb » que le groupe K&K Entertainment (les frères Nabil et Ghazi) compte produire dans un futur imminent. Il s’agit, en quelques sorte d’une même mode : la « Reality show » qui fait sortir le spectateur du monde de béton au sein duquel il vit. Il est vrai que la production d’une émission de ce genre nécessite un savoir faire énorme et un lourd investissement ; mais nous ne doutons guerre quant à la capacité des deux frères Nabil et Ghazi à lever le pari. Les étapes accomplies sont très encourageantes voire même rassurantes : la chaîne prévue à diffuser l’émission fut depuis quelques temps lancée en essai technique (Nessma TV), le palais qui abriterait les candidats est déjà prêt, les candidats sont presque définitivement choisis et la directrice de l’académie est déjà connue ; il s’agit de la mélomane Khadija Mkacher. Lors d’un point de presse tenu récemment dans l’un des luxueux hôtels de la capitale, Alexia Laroche-Joubert, directrice de la Star Academy française et présidente d’Endemol France a confirmé ces propos (ndlr : c’est bien elle qui a lancé le concept sur TF1 après avoir travailler pour Télé Dimanche et TV+). Nous croyons bien que les producteurs de l’émission de jeux « Akker Kalima » en Algérie et des spots radiophoniques et télévisuels au Maroc et en Tunisie sont capables de répondre aux attentes des Maghrébins. Entre autres, la plateforme SMS et les moyens informatiques desquels ils disposent leur permettent de gérer l’interactivité que requiert la « Star Academy ».
Nous nous sentons réjouis d’observer un groupe tunisien, qui a gagné en notoriété, avancer dans un projet de grande complexité. Ceci se passe au moment où des grands groupes de communication Moyen Orientaux, en occurrence le Saoudien MBC et le Libanais LBC, s’intéressent de plus en plus au téléspectateur Maghrébin : le premier a adapté la diffusion des programmes de sa chaîne MBC1 aux fuseaux horaires du Maghreb et le deuxième a déclaré le lancement d'une chaîne privée ciblant la région. En fait, cette région du la plateforme SMS et les moyens informatiques desquels ils disposent leur permettent de gérer l’interactivité que requiert la « Star Academy » monde dont la population avoisine les 90 millions d’habitants présente un fort potentiel de croissance de l’investissement publicitaire télévisuel : en 2005, le Maroc a enregistré une progression de 48%, la Tunisie une évolution de 45% et l’Algérie de 12%. En outre, pour la même année, ces trois pays ont enregistré respectivement des PIB de l’ordre de 61 milliards de dollars, 31,9 milliards de dollars et 83 milliards de dollars. Des chiffres qui expliquent la saga des groupes de communication vers la région Maghreb.En définitif, Communiquons !
« Kahloucha VSH »
Le film relate l’histoire d’un grand féru des films des années 70 ; Moncef Kahloucha, peintre en bâtiments. Il tourne des fictions hilarantes en VHS avec l'aide des habitants du quartier populaire Kazmet à Sousse ; il les produit, les réalise et y incarne toujours le rôle principal. Ses tournages sont alors l’occasion pour les habitants de son quartier d’échapper à leur quotidien morose et de vivre des moments intenses, de la préparation jusqu’à la projection dans le café du coin. La caméra de Néjib Belkhadi a suivi Kahloucha pendant qu’il bouclait son opus intitulé « Tarzan des Arabes ». L’histoire, étant très simple, n’a à première vue aucune chance d’être transformée en film, encore moins de susciter l’attention d’un publique ouvert sur tous les cinémas du monde. Mais, il s’est avéré par expérience qu’au sein du monde de béton où nous vivons, nous nous trouvons en enquête d’une histoire simple qui rompe avec les thèmes excessivement ressassés par le cinéma de ces temps. Nous pensons, en outre, que Néjib s’adhère de plus en à la « Reality Show ». D’ailleurs, nous croyons que l’histoire fut provoquée pour filmer un monde aussi énigmatique qu’un quartier populaire. Ce raisonnement se confirme en se rappelant des débuts de de cet enfant de la Marsa avec la production. Depuis « Chams Alik » ( qu’il a produit lorsqu’il était à Canal+ Horizon) jusqu’aujourd’hui, Néjib Belkadhi est resté fidèle à lui même et à ses convictions : filmer les citoyens qui se trament dans l’ombre sans retouche ni grimage. Ainsi, il a prouvé que la persévérance est, désormais, la clef de la réussite. A travers « Khaloucha VHS », il a su capitaliser un background cinématographique et a réussi à attirer de nouveau le public de « Chams Alik » qui s’est grandi en âge.
Il s’est avéré par expérience qu’au sein du monde de béton où nous vivons, nous nous trouvons en enquête d’une histoire simple qui rompe avec les thèmes excessivement ressassés par le cinéma de ces temps. Par ailleurs, nous avons admiré la façon dont Néjib Belkadhi a fait communiquer son film. La modernité et la diversification des supports était frappantes ; nous énumérons des blogs, un site web dédiée, des bandeaux publicitaires sur le Net et à la presse, des bondes annonces à la radio, des expositions VIP, des affiches décorant les clubs de Jazz et les restaurants les plus branchés et des voitures "capotées" d'images et de régies annonçant « Kahloucha VHS » qui fessaient le tour du grand Tunis. Et pour provoquer le « bouche à oreille », Khaloucha a été présent en chaire et en os à l’Africa (salle qui fut renouvelée totalement avant d’accueillir le film) ; le publique a donc eu l’occasion de découvrir combien il est simple cet homme : il déclare pompeusement qu’il produisait déjà cinq films et qu’il travaille sur le sixième ; il s’agit de « Polo Awaaj » ! Bravo Néjib ! Une compagne communicationnelle jamais vue pour un film tunisien. Une vrai cacophonie ! Un vrai travail de Pro qui vient démentir ceux qui affirment que les Tunisiens, plutôt intéressés par les films piratés et les chaînes spécialisées Ciné, ne sortent plus aux salles de cinéma. Khaloucha et Najib Belkhadhi ont prouvé qu'il fallait juste des idées novatrices et motrices. A ce sujet, Néjib a certainement beaucoup appris dès son jeune âge à l'IHEC. Encore, un tel succès n'est guerre étrange lorsqu’il vient de la part d'un ancien de «Canal+ Horizons ». Cette école, nous a déjà enfanté "Mourad Zeggidi", "Moez Ben Gharbia", "Sawsen Maalej", "Kalil" (qui travaille à Nour chez Karoui&Karoui) et la grande "Salwa Samawi" (une chasse tête réussi l'a fait enroulée d'Alcatel Tunisie vers K&K et dernièrement de ce dernier vers Microsoft Tunisie).
La “ Star Academy Maghreb »
Le succès qu’a connu Néjib Belkadhi nous pousse à prévoir tant de bien pour la « Star Academy Magreb » que le groupe K&K Entertainment (les frères Nabil et Ghazi) compte produire dans un futur imminent. Il s’agit, en quelques sorte d’une même mode : la « Reality show » qui fait sortir le spectateur du monde de béton au sein duquel il vit. Il est vrai que la production d’une émission de ce genre nécessite un savoir faire énorme et un lourd investissement ; mais nous ne doutons guerre quant à la capacité des deux frères Nabil et Ghazi à lever le pari. Les étapes accomplies sont très encourageantes voire même rassurantes : la chaîne prévue à diffuser l’émission fut depuis quelques temps lancée en essai technique (Nessma TV), le palais qui abriterait les candidats est déjà prêt, les candidats sont presque définitivement choisis et la directrice de l’académie est déjà connue ; il s’agit de la mélomane Khadija Mkacher. Lors d’un point de presse tenu récemment dans l’un des luxueux hôtels de la capitale, Alexia Laroche-Joubert, directrice de la Star Academy française et présidente d’Endemol France a confirmé ces propos (ndlr : c’est bien elle qui a lancé le concept sur TF1 après avoir travailler pour Télé Dimanche et TV+). Nous croyons bien que les producteurs de l’émission de jeux « Akker Kalima » en Algérie et des spots radiophoniques et télévisuels au Maroc et en Tunisie sont capables de répondre aux attentes des Maghrébins. Entre autres, la plateforme SMS et les moyens informatiques desquels ils disposent leur permettent de gérer l’interactivité que requiert la « Star Academy ».
Nous nous sentons réjouis d’observer un groupe tunisien, qui a gagné en notoriété, avancer dans un projet de grande complexité. Ceci se passe au moment où des grands groupes de communication Moyen Orientaux, en occurrence le Saoudien MBC et le Libanais LBC, s’intéressent de plus en plus au téléspectateur Maghrébin : le premier a adapté la diffusion des programmes de sa chaîne MBC1 aux fuseaux horaires du Maghreb et le deuxième a déclaré le lancement d'une chaîne privée ciblant la région. En fait, cette région du la plateforme SMS et les moyens informatiques desquels ils disposent leur permettent de gérer l’interactivité que requiert la « Star Academy » monde dont la population avoisine les 90 millions d’habitants présente un fort potentiel de croissance de l’investissement publicitaire télévisuel : en 2005, le Maroc a enregistré une progression de 48%, la Tunisie une évolution de 45% et l’Algérie de 12%. En outre, pour la même année, ces trois pays ont enregistré respectivement des PIB de l’ordre de 61 milliards de dollars, 31,9 milliards de dollars et 83 milliards de dollars. Des chiffres qui expliquent la saga des groupes de communication vers la région Maghreb.En définitif, Communiquons !
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It isn't a maxim that I'm trying to invent; but, henceforth is a reality. We can verify it any where and especially in Cinema. Furthermore, the exponential development of the TV "Reality Show" productions prove it...
"Great fan of the 70's genre movies, Moncef Kahloucha, a house painter, shoots, hilarious feature films on VHS with the help of the inhabitants of Kazmet, a poor district of Sousse (Tunisia)".
I think that Negib, the director of the movie, who is a former of Canal+ believes a lot in the Kant perception of the Art :"It isn't a presentation of a nice matter but, a nice presentation of a matter".
"Great fan of the 70's genre movies, Moncef Kahloucha, a house painter, shoots, hilarious feature films on VHS with the help of the inhabitants of Kazmet, a poor district of Sousse (Tunisia)".
I think that Negib, the director of the movie, who is a former of Canal+ believes a lot in the Kant perception of the Art :"It isn't a presentation of a nice matter but, a nice presentation of a matter".
An old Friend
Avoir déchifrer ce blog, un ami expatrié m’a envoyé un feedback Email : “Congratulation for Maghrebspace ! I found the polyvalent Achraf that I had known for a long time ago; but where are your computer science articles ? I remember that we have enjoyed a lot such kind of articles (that had been published in ZooMmagazine) when we were in the ENSI. […] “
Pour lui et pour le reste des bloggeurs qui connaissent la belle histoire qu’était ZooMMag et les petites folies de ZooMClub, je leur promet du nouveau dans un futur imminent. En fait, ce qui cloche c’est la nature académique et la longueur relative de ces articles ; j’en sortirais, « Chose promise, chose due »…
Pour lui et pour le reste des bloggeurs qui connaissent la belle histoire qu’était ZooMMag et les petites folies de ZooMClub, je leur promet du nouveau dans un futur imminent. En fait, ce qui cloche c’est la nature académique et la longueur relative de ces articles ; j’en sortirais, « Chose promise, chose due »…
2007-01-10
Making OFF, le film
A peine que les échos d’une manifestation culturelle s’estompent, les lumières d’une autre rayonnent. C’est ainsi que nous aimons le paysage culturel de la ville de Tunis. Après les festivités de l’été et le festival de la Medina, ce sont les lumières des JCC qui s’éclairent. Notre curiosité nous conduisait à assister à la première projection du nouveau né de Nouri Bouzid : « Making off » ou « Dernier Film ». Nous avons été, agréablement, surpris par une ouvre artistique marquée par l’audace et l’innovation.
Le film relate l’histoire d’un jeune garçon de 25 ans, Chokri renommé Bahta, qui vit la misère, le chaumage et la délinquance juvénile. Il déclare avoir perdu ses repères suite à son échec au bac. Devant l’absence de perspectives, son seul refuge fut la dense (Rap et Hip Hop) dont la pratique apparaît comme un moyen de distraction, d’épanouissement et d’expression. Son rêve se résume à « atterrir » l’Europe à la conquête d’un changement espéré. Bahta, Lotfi Abdelli dans le film, porte un amour fou envers sa mère et s’attache à sa petite amie (rôle interprété par Affef Ben Mahmoud). Ainsi apparaît l’héros brave, courageux, énergique et un potentiel marginalisé et mal canalisé. Le long du film, le profil de Bahta évolue d’un profil de danseur rêvant d’aller à l’Europe vers le profil d’un intégriste islamiste convaincu par l’idée d’El Jihad et puis vers le profil d’un terroriste attaché à l’idée de mourir martyr. Ce changement radical fut le résultat d’un lavage de cerveau exercé par un groupe de terroristes qui ont apprécié sa bravoure et son courage devant les flics. Autres les conditions qu’il vit et l’influence des intégristes, Bahta se présente comme une victime des vendeurs du rêve de l’immigration clandestine : il a été, cruellement, arnaqué et agressé par l’organisateur des traversés des clandestins (l’interprète Sofiène Chaari). Dans le film, Bahta paraît déchiré entre l’amour de la dense, symbole des principes occidentaux, et l’influence des intégristes.
Le statut de la femme dans la société a été invoqué dans « Making off » à travers deux images paradoxales : moderne contre traditionnelle passéiste. Affef Ben Mahmoud symbolise l’image de la femme moderne, active et positive qui tend vers un avenir meilleur qui la réunit à son amant et où elle agit comme parraine à ses côtés. Cette femme fut nommée d’adultère, volage et perfide par son « nouveau ancien bien aimé » à cerveau lavé. Elle fut, également, agressée et harcelée par son cavalier transformé en intégriste et qui déclare vouloir, par ces actes, la « corriger » et la guider vers le chemin de la vérité. Dorra Zarouk, femme du chef des terroristes, matérialise l’image traditionnelle passéiste de la femme dont le seul rôle est de garder les enfants et d’être, passivement et exclusivement, au service de son maître, pardon de son mari. Une image qui fut caricaturée par le port du voile. L’héros ébloui par sa beauté lui déclare, vers la fin du film, être prêt de mourir martyr pour l’amour de ses yeux. Autrement dit, il est prêt à tout faire pour la libérer de l’environnement obscurantiste et rétrograde au sein duquel elle vit.
Le titre « Making off » tire sa légitimité des séquences making off introduites, soigneusement et habilement, par le metteur en scène pour illustrer certaines idées et insister sur d’autres. Le long de ces séquences, nous avons assisté à un discours entre Nouri Bouzid et Lotfi Abdelli : l’acteur refuse de présenter le rôle d’un intégriste islamiste et trouve du mal à critiquer les Soufis alors qu’il est musulman. Il déclare avoir accepté d’interpréter le rôle d’un danseur et pas celui d’un terroriste. Il insiste sur le fait que l’histoire du film ne peut présenter que l’exception en Tunisie (et certainement pas la règle). Et puis, il avertit le metteur en scène d’être en train de créer un monstre à travers son film. Ce monstre risque fort bien de provoquer l’attaque des journalistes, des intégristes, des hommes de la religion et des politiciens. Il avoue ne plus pouvoir dormir ! Nouri Bouzid partage son acteur l’angoisse, mais il se présente plus audacieux, plus responsable et plus rationnel : « Fais moi confiance… C’est moi qui signe… ». Il déclare être musulman et avoir lu le coran en Arabe et en Français. Nourri ajoute qu’il est simplement contre la théocratie et se montre inquiet d’avoir être entrain de créer un monstre qu’il tuerait s’il le faut !
Le mérite de notre grand Nouri est avant tout d’être audacieux et d’avoir prouver qu’en Tunisie d’aujourd’hui aucun sujet n’est tabou ou « casse gueule ». Il a prouvé encore une fois que la liberté d’expression est, désormais, une réalité tangible : En Tunisie, tout discours cohérent, argumenté et justifié qui n’atteint pas à la dignité des gens et à l’image du pays et ses acquis est accepté et applaudi. Secundo, le mérite de Nourri est d’avoir introduit des séquences Making off dans son film (qui est à notre connaissance une première pour le cinéma Tunisien) pour expliquer par un discours direct et simple des idées centrales. Côté technique, Nourri a exposé son talent de super directeur d’acteurs : Nous avons assisté à un Lotfi Abdelli très expressif et extrêmement convaincant et à une Affef Ben Mahmoud sublime par sa spontanéité et ses sentiments. Rappelons nous que ce même Nouri nous faisait redécouvrir Hend Sabri et Ahmed Hafiane dans « Poupés d’Argile » et mettait haut les projecteurs sur un enfant (qui s’est déjà grandit en art) qui s’appelle Oumeyma Ben Hafsia. Affef Ben Mahmoud a déjà déclaré avoir atteint ce niveau de perfection grâce aux directives de son professeur (Nouri Bouzid) et qu’elle a reçu le scénario du film un an avant le tournage : C’est la méthode Nourri !
Tertio, le mérite de Nouri est d’avoir réussi de sortir le cinéma tunisien de ses clichés et de ses images acquis aux années quatre vingt dix : El Medina, le Souk, El Hamem, le Folklore et une nudité plus ou moins justifiée et le plus souvent parachutée.
Saluons l’audace de Nouri Bouzid et encourageons la coopération Sud Sud (« Making off » est le fruit d’une coopération tuniso-marocaine). Avouons que la coopération Nord Sud a poussé certains cinéastes à satisfaire le « spectateur Nord » en premier lieu. De ce fait, la coopération Sud Sud s’avère une alternative intéressante qui octroie plus de liberté aux artistes tunisiens et leur permet de produire un discours universel. Ces propos présentent un appel à enrichir l’expérience Sud Nord (qui a déjà montré ses preuves et reste de valeur) par un amalgame Sud Sud et Sud Sud Nord qui semble fleurissant et prometteur. Pour finir, nous croyons que Nourri Bouzid s’est aligné à la perception de Kant de l’art : « Ce n’est pas la présentation d’une belle chose, mais la belle présentation d’une chose » et c’est grâce à sa persévérance, sa détermination et son interaction avec l’environnement géopolitique mondial qu’il a essayé de donner des explications bien loin des éloges flatteurs et des propos courtois et sans faire recours à la langue de bois et aux alibis mesquins. Tenons bien les propos de Louis Aragon dans « la rose et le réséda » : « Quand les blés sont sous la grêle fou qui fait le délicat».
Le film relate l’histoire d’un jeune garçon de 25 ans, Chokri renommé Bahta, qui vit la misère, le chaumage et la délinquance juvénile. Il déclare avoir perdu ses repères suite à son échec au bac. Devant l’absence de perspectives, son seul refuge fut la dense (Rap et Hip Hop) dont la pratique apparaît comme un moyen de distraction, d’épanouissement et d’expression. Son rêve se résume à « atterrir » l’Europe à la conquête d’un changement espéré. Bahta, Lotfi Abdelli dans le film, porte un amour fou envers sa mère et s’attache à sa petite amie (rôle interprété par Affef Ben Mahmoud). Ainsi apparaît l’héros brave, courageux, énergique et un potentiel marginalisé et mal canalisé. Le long du film, le profil de Bahta évolue d’un profil de danseur rêvant d’aller à l’Europe vers le profil d’un intégriste islamiste convaincu par l’idée d’El Jihad et puis vers le profil d’un terroriste attaché à l’idée de mourir martyr. Ce changement radical fut le résultat d’un lavage de cerveau exercé par un groupe de terroristes qui ont apprécié sa bravoure et son courage devant les flics. Autres les conditions qu’il vit et l’influence des intégristes, Bahta se présente comme une victime des vendeurs du rêve de l’immigration clandestine : il a été, cruellement, arnaqué et agressé par l’organisateur des traversés des clandestins (l’interprète Sofiène Chaari). Dans le film, Bahta paraît déchiré entre l’amour de la dense, symbole des principes occidentaux, et l’influence des intégristes.
Le statut de la femme dans la société a été invoqué dans « Making off » à travers deux images paradoxales : moderne contre traditionnelle passéiste. Affef Ben Mahmoud symbolise l’image de la femme moderne, active et positive qui tend vers un avenir meilleur qui la réunit à son amant et où elle agit comme parraine à ses côtés. Cette femme fut nommée d’adultère, volage et perfide par son « nouveau ancien bien aimé » à cerveau lavé. Elle fut, également, agressée et harcelée par son cavalier transformé en intégriste et qui déclare vouloir, par ces actes, la « corriger » et la guider vers le chemin de la vérité. Dorra Zarouk, femme du chef des terroristes, matérialise l’image traditionnelle passéiste de la femme dont le seul rôle est de garder les enfants et d’être, passivement et exclusivement, au service de son maître, pardon de son mari. Une image qui fut caricaturée par le port du voile. L’héros ébloui par sa beauté lui déclare, vers la fin du film, être prêt de mourir martyr pour l’amour de ses yeux. Autrement dit, il est prêt à tout faire pour la libérer de l’environnement obscurantiste et rétrograde au sein duquel elle vit.
Le titre « Making off » tire sa légitimité des séquences making off introduites, soigneusement et habilement, par le metteur en scène pour illustrer certaines idées et insister sur d’autres. Le long de ces séquences, nous avons assisté à un discours entre Nouri Bouzid et Lotfi Abdelli : l’acteur refuse de présenter le rôle d’un intégriste islamiste et trouve du mal à critiquer les Soufis alors qu’il est musulman. Il déclare avoir accepté d’interpréter le rôle d’un danseur et pas celui d’un terroriste. Il insiste sur le fait que l’histoire du film ne peut présenter que l’exception en Tunisie (et certainement pas la règle). Et puis, il avertit le metteur en scène d’être en train de créer un monstre à travers son film. Ce monstre risque fort bien de provoquer l’attaque des journalistes, des intégristes, des hommes de la religion et des politiciens. Il avoue ne plus pouvoir dormir ! Nouri Bouzid partage son acteur l’angoisse, mais il se présente plus audacieux, plus responsable et plus rationnel : « Fais moi confiance… C’est moi qui signe… ». Il déclare être musulman et avoir lu le coran en Arabe et en Français. Nourri ajoute qu’il est simplement contre la théocratie et se montre inquiet d’avoir être entrain de créer un monstre qu’il tuerait s’il le faut !
Le mérite de notre grand Nouri est avant tout d’être audacieux et d’avoir prouver qu’en Tunisie d’aujourd’hui aucun sujet n’est tabou ou « casse gueule ». Il a prouvé encore une fois que la liberté d’expression est, désormais, une réalité tangible : En Tunisie, tout discours cohérent, argumenté et justifié qui n’atteint pas à la dignité des gens et à l’image du pays et ses acquis est accepté et applaudi. Secundo, le mérite de Nourri est d’avoir introduit des séquences Making off dans son film (qui est à notre connaissance une première pour le cinéma Tunisien) pour expliquer par un discours direct et simple des idées centrales. Côté technique, Nourri a exposé son talent de super directeur d’acteurs : Nous avons assisté à un Lotfi Abdelli très expressif et extrêmement convaincant et à une Affef Ben Mahmoud sublime par sa spontanéité et ses sentiments. Rappelons nous que ce même Nouri nous faisait redécouvrir Hend Sabri et Ahmed Hafiane dans « Poupés d’Argile » et mettait haut les projecteurs sur un enfant (qui s’est déjà grandit en art) qui s’appelle Oumeyma Ben Hafsia. Affef Ben Mahmoud a déjà déclaré avoir atteint ce niveau de perfection grâce aux directives de son professeur (Nouri Bouzid) et qu’elle a reçu le scénario du film un an avant le tournage : C’est la méthode Nourri !
Tertio, le mérite de Nouri est d’avoir réussi de sortir le cinéma tunisien de ses clichés et de ses images acquis aux années quatre vingt dix : El Medina, le Souk, El Hamem, le Folklore et une nudité plus ou moins justifiée et le plus souvent parachutée.
Saluons l’audace de Nouri Bouzid et encourageons la coopération Sud Sud (« Making off » est le fruit d’une coopération tuniso-marocaine). Avouons que la coopération Nord Sud a poussé certains cinéastes à satisfaire le « spectateur Nord » en premier lieu. De ce fait, la coopération Sud Sud s’avère une alternative intéressante qui octroie plus de liberté aux artistes tunisiens et leur permet de produire un discours universel. Ces propos présentent un appel à enrichir l’expérience Sud Nord (qui a déjà montré ses preuves et reste de valeur) par un amalgame Sud Sud et Sud Sud Nord qui semble fleurissant et prometteur. Pour finir, nous croyons que Nourri Bouzid s’est aligné à la perception de Kant de l’art : « Ce n’est pas la présentation d’une belle chose, mais la belle présentation d’une chose » et c’est grâce à sa persévérance, sa détermination et son interaction avec l’environnement géopolitique mondial qu’il a essayé de donner des explications bien loin des éloges flatteurs et des propos courtois et sans faire recours à la langue de bois et aux alibis mesquins. Tenons bien les propos de Louis Aragon dans « la rose et le réséda » : « Quand les blés sont sous la grêle fou qui fait le délicat».
2007-01-06
Les exigences cachées du travail à l'international
Travailler à l'international ! C'est un rêve d'enfant ! Que ce soit pour un informaticien venant de recevoir une offre de Sun Microsystems, pour un gestionnaire ayant signé un contrat supertruffé avec Disneyland, pour un artiste capté par Universal, pour un juriste accepté à l'ONU ou pour un big boss ayant fêté sa centième filiale à Bangkok (la quatre vingt dix neuvième étant à Manille et la quatre-vingt dix huitième à Johannesburg), le résultat est le même : joie, euphorie, enthousiasme et surtout satisfaction.Mais attention, travailler à l'international a ses exigences et ses coulisses cachées. Outre les exigences traditionnellement connues de type érudition, diplomatie, courtoisie, savoir-faire, background cognitif et aptitude communicationnelle, de petits détails à aspect culturel et gestuel risquent de faire la différence. A titre d'exemple, être aux Etats Unis, allongé sur votre fauteuil, le téléphone à l'oreille et ayant placé les pieds sur le bureau en présence d'un collaborateur n'a rien de spécial ou d’indécent. La même image pratiquée au Japon est synonyme d'impolitesse, de manque de respect et d'irresponsabilité. Au pays du Soleil Levant, montrer le bas d'une semelle est choquant.Ayant fixé un rendez-vous pour quinze heures, à quelle heure estimez-vous l'arrivée de la personne en question? Et bien, s'il s'agit d'une Allemande, elle sera exactement à l’heure. S'il s'agit d'une Américaine, il est très fort probable qu'elle viendra quinze minutes avant. S'il s'agit d'une Anglaise, elle s'offrira quinze minutes de retard. En tout cas, ça reste tolérable comparé à une Italienne qui viendrait à seize heures.Gestes typiques et très spécifiquesD'autres règles méritent d'être citées. Si les Anglais aiment parler business en mangeant ou en buvant, les Allemands préfèrent manger après avoir fini toute sorte de discussion professionnelle. A l'inverse, les Français calment leur faim avant d'entamer les discussions d'ordre professionnel. Quant aux Arabes du Moyen-Orient, il n'y a pas de règles strictes dans ce sens. Mais il faut absolument éviter de manger ou de boire avec la main gauche ; des raisons métaphysiques l'interdisent. Encore, n'exprimez jamais votre admiration pour un tableau, un vase ou un tapis, son possesseur sentira le devoir de vous l'offrir.A l'encontre des Japonais, les Américains sont informels et cool.Ainsi, “Have a nice day” est couramment remplacée par “Enjoy” même si vous vous adressez à votre supérieur hiérarchique. Les Anglais sont, de nature, cool mais conservateurs et “cold ”. On a, même, l'illusion de croire que leur climat spécial influe sur leur caractère : ils sont à première vue hostiles et unfriendly, mais ils affichent une sympathie accablante dès que vous sollicitez leur aide et qu'ils s'assurent que vous êtes pacifique ”. Outre le climat, aux Etats-Unis, l'appartenance géographique intervient pour forger un premier contact timide: “Oh, vous vivez à Ohio ? Ma femme y est originaire ”.D'autres formalités changent radicalement dès que vous franchissez la barrière séparant deux pays voisins. Par exemple, si les Français disent “Bon voyage ! bonne chance ! que Dieu vous protège... ”, les Italiens disent “ In Bocca Al Lupo !” (A la gueule du Loup !). Nous, les Tunisiens, nous versons, traditionnellement, une tasse d'eau derrière le voyageur en lui espérant un retour sain et sauf. D'autres gestes sont typiques et très spécifiques ; en Russie, le fait de refuser un verre offert par un interlocuteur le touche profondément (il aurait l'illusion que vous n'aimez pas sa compagnie). La courtoisie s'impose! Côté business, un directeur commercial doit, incontestablement, tenir compte des croyances, des rituels et des préférences des habitants du pays où il commercialise son produit. En fait, emballer un article de cadeau dans un carton blanc en Malaisie est synonyme de grande perte : la couleur blanche est perçue comme symbole de mort! Un site marchand multilangue doit nécessairement changer de couleur et de design dès qu'on change de langue. Aussi, alimenter les supermarchés américains de “Craft bags” au lieu de sachets en nylon est fortement recommandé. Dans le même sens, investir en WAP en Scandinavie apporte beaucoup plus d'argent que le même projet implanté aux Etats-Unis. Et, pour finir avec le business, notons qu'une université virtuelle implantée dans un pays à surface étendue (à l'image de l'Australie) ou dans un pays à climat extrêmement froid (comme la Suède) attire plus d'étudiants qu'ailleurs.Revenons aux étiquettes relatives à la présentation et au choix des cadeaux pour préciser que les protocoles qui les régissent diffèrent considérablement d'un pays à l'autre. Outre la couleur blanche qui devrait être évitée en Malaisie et au Japon, les couleurs bleu, jaune et noir sont vivement déconseillées. De plus, tout objet faisant allusion aux funérailles est à éviter. Nous citons les horloges, les serviettes, les mouchoirs et les sandales de paille. Toujours, en Malaisie, s'il s'avère nécessaire d'offrir un parfum à une collègue, prenez soin de lui expliquer que c'est bien votre femme qui a choisi la marque et le modèle!D'autre part, si au Japon les étiquettes stipulent l'octroi du cadeau en se servant des deux mains (ça reste vrai pour le cas des cartes de visite), en Malaisie, on se sert uniquement de la main droite. Quant aux Arabes du Moyen-Orient, leur traditionnel caractère généreux les poussent à vous offrir des cadeaux dès le premier contact. Ceci étant, une action réciproque de votre part sera fortement appréciée. D'ailleurs, faites de façon à ce que les cadeaux reçus et offerts soient d'une qualité et d'une valeur similaire. Sachez, également, que les bouteilles d'alcool, les cuirs de porc et les produits à caractère nudiste sont à éviter. Par contre, les cuirs de haute qualité (à l'exception du cuir de porc), les tapis, le cachemire, les pierres précieuses, le cristal et la porcelaine sont très appréciés. En Amérique Latine, bouteilles d'alcool, chocolat et fleurs sont très répandus au détriment des cuirs d'animaux (les meilleurs cuirs sont produits par les pays de l'Amérique Latine).En conclusion, travailler ou investir à l'international a ses exigences, ses rituels, ses étiquettes et ses coulisses cachées. Toutefois, il est vrai que des moyens imposés par la modernité (tels que les moyens de communication) sont en mesure de briser des règles instaurées par la tradition : En Libye, draguer des filles sur le Net est très à la mode; mais, les racoler sur une corniche reste mal assumé et complètement rejeté par les gardiens du temple de la modernité.
Raison d'être / Purpose
Affichons au monde la bravoure du petit génie Maghrebin...
La mondialisation et l'environnement géopolitique l'oblige !
A vos plumes et à vos pensées !
PS.: Aujourd’hui l’économie européenne est de plus en plus menacée par la monté ahurissante des pays de l’extrême orient. Le pétrodollar gagne du terrain. La rareté des matières premières s’aiguise de plus en plus et pousse les ticons et les décideurs à s’intéresser à l’Afrique Noire. Ces facteurs géoéconomiques favorisent le positionnement du Maghreb comme centre de compétences et comme sommet inférieur ou supérieur d’un commerce triangulaire naissant : il est sommet inférieur pour un commerce triangulaire Moyen Orient – Maghreb – Europe et sommet supérieur d’un commerce triangulaire Moyen – Orient – Maghreb – Afrique. Ce triangle nous rappelle la success story qu’était la triangulation Japon – Mexique – Etats Unis
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Welcome,
Let us show to the whole world ' who genius the Maghrebi is ! '
The globalization and the geopolitical environment push us to act like that !
Participate and Enjoy !
PS.: At nowadays the European economy is looking threatening by the rapid growth of the extreme east countries. The petrodollar is more and more influencent. The shortage of the raw materials push the ticons and decision-makers to discover the Black Africa worth. All these factors make the Maghreb a competence center and a sommet of a new triangular commerce : it is a lower apex for a Middle East – Maghreb – Europ triangular commerce and an upper apex of a Middle East – Maghreb – Africa triangular commerce. This growing triangular commerce remember us the success of the triangle Japan – Mexico – USA.
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