JavaSE 6 is finally out in its glorious FCS bits. James Gosling has annouced it More details at http://java.sun.com/javase/6
Le Maghreb, une mode Economique... Une inclinaison aux exigences de la Mondialisation ! //// The Maghreb, an Economic fashion... An adhesion in the Globalization !
JavaSE 6 is finally out in its glorious FCS bits. James Gosling has annouced it 
Après la success Story qu'était Matel (la filliale de Tunisie Telecom qui a mis en place le réseau cellulaire GSM en Mauritanie), c'est au tour de Tunis Air de conquérir le marche Mauritanien. Nous venons d'apprendre qu'une nouvelle compagnie a vu le jour; il s'agit de Mauritanie Airways. Elle se présente comme le fruit de la coopération entre le Groupe mauritanien Bouamatou, l'Etat mauritanien et Tunisair. Le capital de Mauritania Airways est réparti comme suit : Tunisair 51%, Groupe Bouamatou 39% et Gouvernement mauritanien 10%. La nouvelle compagnie démarrera ses activités au mois de mars 2007 et offrira des dessertes intérieures et internationales de manière à consolider le réseau du transport aérien mauritanien. L'assemblée générale de cette société se tiendra bientôt.
Après "le Pas du chat Noir", l’artiste tunisien Anouar Brahem obtient le prix "Edison Award"(dans la catégorie world) pour son noueau disque "Le Voyage de Sahar". Le prix est considéré comme l'un des plus prestigieux prix de musique dans le monde. L'Edisson Award est l'équivalent du Grammy Award aux USA, Le Grand Prix du disque en France ou le Deutscher Schallplattenpreis en Allemagne (prix que d'ailleurs Anouar Brahem a déjà obtenu en 1998 pour son disque "Thimar"). Annonçant le palmarès, le jury de la fondation hollandaise Edison s'est exprimé en ces termes: "Le musicien tunisien Anouar Brahem propose avec "Le voyage de Sahar" un album époustouflant, beau et intense". Des sources dignes de fois, nous ont affirmé qu'Anouar Brahem présentera son "Voyage de Sahar" à Tunis au cours du premier semestre 2007. Les laureats 2006 des Edisons Jazz/World sont : le luthiste tunisien Anouar BRAHEM (section world), le trompettiste néerlandais Eric VLOEIMANS, Andrew HILL (section jazz) et Raraf de HAIDOUKS (section vidéo). La diva Rita Reys (82 ans) a reçu un prix pour l'ensemble de ses oeuvres. Anouar a prouvé encore une fois son talent de super virtuose et a confirmé le grand bien que nous pensons de lui. Affichons au monde la bravoure du petit génie Maghrebin !
Ce n'est pas un maxime que nous essayons d'inventer, mais il s'agit d'une réalité qui pourrait être vérifiée un peu partout, en occurrence au cinéma et à la télé. D’ailleurs la monté ahurissante des « Reality Show » télévisés le prouve. Cette pensée nous a sauté à l’esprit après avoir regarder le nouveau né de Nejib Belkadhi : le film «Kahloucha VHS». Qu’il soit à sa projection lors des journées « Doc à Tunis », aux JCC ou à sa sortie officielle dans les salles (Lundi 8 janvier), la même image d’un publique « affamé » s’est, partout, répétée. Ce fut la ruée ! Au moment que les films de fiction trouvent du mal à se vendre à nos salles, un film présente l’exception. Mieux encore, après avoir gagner le « Muhr d’or » à Dubai pour la catégorie des films documentaires, Néjib Belkhadi exposera son oeuvre à Sundance aux USA (festival présidé par Robert Redford) et à Göetborg au Suède. Expliquons.
A peine que les échos d’une manifestation culturelle s’estompent, les lumières d’une autre rayonnent. C’est ainsi que nous aimons le paysage culturel de la ville de Tunis. Après les festivités de l’été et le festival de la Medina, ce sont les lumières des JCC qui s’éclairent. Notre curiosité nous conduisait à assister à la première projection du nouveau né de Nouri Bouzid : « Making off » ou « Dernier Film ». Nous avons été, agréablement, surpris par une ouvre artistique marquée par l’audace et l’innovation.
Travailler à l'international ! C'est un rêve d'enfant ! Que ce soit pour un informaticien venant de recevoir une offre de Sun Microsystems, pour un gestionnaire ayant signé un contrat supertruffé avec Disneyland, pour un artiste capté par Universal, pour un juriste accepté à l'ONU ou pour un big boss ayant fêté sa centième filiale à Bangkok (la quatre vingt dix neuvième étant à Manille et la quatre-vingt dix huitième à Johannesburg), le résultat est le même : joie, euphorie, enthousiasme et surtout satisfaction.Mais attention, travailler à l'international a ses exigences et ses coulisses cachées. Outre les exigences traditionnellement connues de type érudition, diplomatie, courtoisie, savoir-faire, background cognitif et aptitude communicationnelle, de petits détails à aspect culturel et gestuel risquent de faire la différence. A titre d'exemple, être aux Etats Unis, allongé sur votre fauteuil, le téléphone à l'oreille et ayant placé les pieds sur le bureau en présence d'un collaborateur n'a rien de spécial ou d’indécent. La même image pratiquée au Japon est synonyme d'impolitesse, de manque de respect et d'irresponsabilité. Au pays du Soleil Levant, montrer le bas d'une semelle est choquant.Ayant fixé un rendez-vous pour quinze heures, à quelle heure estimez-vous l'arrivée de la personne en question? Et bien, s'il s'agit d'une Allemande, elle sera exactement à l’heure. S'il s'agit d'une Américaine, il est très fort probable qu'elle viendra quinze minutes avant. S'il s'agit d'une Anglaise, elle s'offrira quinze minutes de retard. En tout cas, ça reste tolérable comparé à une Italienne qui viendrait à seize heures.Gestes typiques et très spécifiquesD'autres règles méritent d'être citées. Si les Anglais aiment parler business en mangeant ou en buvant, les Allemands préfèrent manger après avoir fini toute sorte de discussion professionnelle. A l'inverse, les Français calment leur faim avant d'entamer les discussions d'ordre professionnel. Quant aux Arabes du Moyen-Orient, il n'y a pas de règles strictes dans ce sens. Mais il faut absolument éviter de manger ou de boire avec la main gauche ; des raisons métaphysiques l'interdisent. Encore, n'exprimez jamais votre admiration pour un tableau, un vase ou un tapis, son possesseur sentira le devoir de vous l'offrir.A l'encontre des Japonais, les Américains sont informels et cool.Ainsi, “Have a nice day” est couramment remplacée par “Enjoy” même si vous vous adressez à votre supérieur hiérarchique. Les Anglais sont, de nature, cool mais conservateurs et “cold ”. On a, même, l'illusion de croire que leur climat spécial influe sur leur caractère : ils sont à première vue hostiles et unfriendly, mais ils affichent une sympathie accablante dès que vous sollicitez leur aide et qu'ils s'assurent que vous êtes pacifique ”. Outre le climat, aux Etats-Unis, l'appartenance géographique intervient pour forger un premier contact timide: “Oh, vous vivez à Ohio ? Ma femme y est originaire ”.D'autres formalités changent radicalement dès que vous franchissez la barrière séparant deux pays voisins. Par exemple, si les Français disent “Bon voyage ! bonne chance ! que Dieu vous protège... ”, les Italiens disent “ In Bocca Al Lupo !” (A la gueule du Loup !). Nous, les Tunisiens, nous versons, traditionnellement, une tasse d'eau derrière le voyageur en lui espérant un retour sain et sauf. D'autres gestes sont typiques et très spécifiques ; en Russie, le fait de refuser un verre offert par un interlocuteur le touche profondément (il aurait l'illusion que vous n'aimez pas sa compagnie). La courtoisie s'impose! Côté business, un directeur commercial doit, incontestablement, tenir compte des croyances, des rituels et des préférences des habitants du pays où il commercialise son produit. En fait, emballer un article de cadeau dans un carton blanc en Malaisie est synonyme de grande perte : la couleur blanche est perçue comme symbole de mort! Un site marchand multilangue doit nécessairement changer de couleur et de design dès qu'on change de langue. Aussi, alimenter les supermarchés américains de “Craft bags” au lieu de sachets en nylon est fortement recommandé. Dans le même sens, investir en WAP en Scandinavie apporte beaucoup plus d'argent que le même projet implanté aux Etats-Unis. Et, pour finir avec le business, notons qu'une université virtuelle implantée dans un pays à surface étendue (à l'image de l'Australie) ou dans un pays à climat extrêmement froid (comme la Suède) attire plus d'étudiants qu'ailleurs.Revenons aux étiquettes relatives à la présentation et au choix des cadeaux pour préciser que les protocoles qui les régissent diffèrent considérablement d'un pays à l'autre. Outre la couleur blanche qui devrait être évitée en Malaisie et au Japon, les couleurs bleu, jaune et noir sont vivement déconseillées. De plus, tout objet faisant allusion aux funérailles est à éviter. Nous citons les horloges, les serviettes, les mouchoirs et les sandales de paille. Toujours, en Malaisie, s'il s'avère nécessaire d'offrir un parfum à une collègue, prenez soin de lui expliquer que c'est bien votre femme qui a choisi la marque et le modèle!D'autre part, si au Japon les étiquettes stipulent l'octroi du cadeau en se servant des deux mains (ça reste vrai pour le cas des cartes de visite), en Malaisie, on se sert uniquement de la main droite. Quant aux Arabes du Moyen-Orient, leur traditionnel caractère généreux les poussent à vous offrir des cadeaux dès le premier contact. Ceci étant, une action réciproque de votre part sera fortement appréciée. D'ailleurs, faites de façon à ce que les cadeaux reçus et offerts soient d'une qualité et d'une valeur similaire. Sachez, également, que les bouteilles d'alcool, les cuirs de porc et les produits à caractère nudiste sont à éviter. Par contre, les cuirs de haute qualité (à l'exception du cuir de porc), les tapis, le cachemire, les pierres précieuses, le cristal et la porcelaine sont très appréciés. En Amérique Latine, bouteilles d'alcool, chocolat et fleurs sont très répandus au détriment des cuirs d'animaux (les meilleurs cuirs sont produits par les pays de l'Amérique Latine).En conclusion, travailler ou investir à l'international a ses exigences, ses rituels, ses étiquettes et ses coulisses cachées. Toutefois, il est vrai que des moyens imposés par la modernité (tels que les moyens de communication) sont en mesure de briser des règles instaurées par la tradition : En Libye, draguer des filles sur le Net est très à la mode; mais, les racoler sur une corniche reste mal assumé et complètement rejeté par les gardiens du temple de la modernité.