2008-04-28

La holdingPoulina prochainement en Bourse

Une Méga introduction en bourse s'effectuera au court des prochains jours. Le groupe de Abdelwaheb Ben Ayed procèdera prochainement à une entrée en Bourse pour l'ensemble de ses sociétés (il y est déjà présent via la valeur ElMazra). La holding Poulina (formée de six mini holdings couvrant les secteurs aviculture, agrobusiness, industrie, emballage, céramique et BTP) a confié le pilotage de l'action à Tunisie Valeurs et Ernst & Young (dirrigée par Noureddine Hajji). Afin de vendre mieux cette opération de taille, on entend parler de road show organisés et /ou àorganiser à Paris, New York et à Johensburg. (à suivre...)

La Tunisie Abritera-t-elle le siège futur de la scrétariat de l'UM

La France souhaite que le secrétariat de la future Union pour la Méditerranée ait son siège sur la rive sud. La Tunisie se présente comme un candidat sérieux pour abriter le dit siège pour plus qu'un titre. Nicolas Sarkozy qui est en visite d'Etat aujourd'hui et demain en Tunisie pour promouvoir son projet UPM pourrait annoncer une telle nouvelle (La France voulait que le siège serait dans un pays de la rive sud et ce contrairement à la volenté de la Commission européenne qui milite pour que le secrétariat de la future UPM soit à Bruxelles). L'Elysée affirme que c'est aux pays de la rive sud de se mettre d'accord entre eux quant au choix du pays. Mais la Tunisie paraît la mieux placée, à la fois du point de vue géographique et parce qu'elle entretient de bonnes relations avec l'ensemble des pays du nord et du sud de la Méditerranée, dit-on à Paris. A propos de l'UPM, les tunisiens ont déjà avancé qu'ils ne souhaitent pas se voire réécouter une "resucée" Barcelone... Pour les rassurer Nicolas Sarkozy a plaidé hier (dans une interview à la presse tunisienne) : «Il faut que notre partenariat soit le fruit d'un véritable dialogue Nord-Sud et non un concept imposé au Sud par le Nord»...
Accompagné de son épouse Carla Bruni, Nicola Sarkozy (contrairement à l'habitude des chefs d'Etat qui séjournent dans des palais de la Banlieu nord de la Capitale) s'installera à la Renaissance Hôtel à Gammarth (Banlieue Nord de la capitale) ; un hôtel de luxe qui abrite une station de thalassothérapie.
PS.:
La France est le premier client de la Tunisie et son premier fournisseur. En 2007, le commerce bilatéral - favorable à la Tunisie - a atteint un niveau record de 7 milliards d'euros. Fait notable au regard de la taille réduite de sa population (10 millions d'habitants), la Tunisie entretient avec la France les rapports les plus denses de la région. On compte deux fois plus d'entreprises françaises en Tunisie qu'au Maroc, et trois fois plus qu'en Algérie. Outre le projet UPM, lors de cette visite, M. Sarkozy espère obtenir la vente d'avions Airbus à Tunis Air et la fourniture par le groupe Alstom d'équipements pour une centrale thermique (pour 300 millions d'euros, l'allemand Siemens est déjà en belle avance sur ce projet de taille). Un accord-cadre de partenariat sur le nucléaire devrait aussi être paraphé, semblable à ceux conclus par la France avec le Maroc, l'Algérie et la Libye, ouvrant la voie, à terme, à la fourniture d'une centrale nucléaire (les tunisiens ont planifié le projet pour 2020; mais il estiment qu'une Mega Centrale à la Française dépasse de loin leurs besoins). L'Agence française du développement signera sept conventions de financement pour une valeur de 140 millions d'euros. La Caisse d'Epargne doit signer de son côté avec la Banque tuniso-koweïtienne (BTK), récemment privatisée, un accord sur des produits d'épargne destinés aux 600.000 ressortissants tunisiens vivant en France, dit-on de source française.

2008-04-23

L'iPhone en demi échec en France

Le dernier joujou d’Apple, vendu à 399 Euros en France, s’écoule mal. Orange, qui a déployé de grands moyens pour réussir à décrocher la commercialisation exclusive du gadget de la communauté-branchés, a dû revoire à la baisse ses prétentions initiales : L’objectif de vendre 100000 exzemplaires à fin Décembre 2007 n’avait pas pu être atteint et ce malgré l’effet cadeaux de Noel. « Le géant Californien a vendu beaucoup moins de son produit phare qu’espérait en Europe et souhaite que les opérateurs mobiles qui distribuent ce mobile sur le Vieux Continent le subventionnent » ; ainsi Steve Jobs, le Patron de la firme Califorienne, apparaît prêt à changer sa politique commerciale. Du coup, le gadget incontournable des ados branchés est susceptible de s’aligner au reste des terminaux mobiles du marché dont la majorité est vendue à moins de 29 Euros grâce aux subventions des providers. Orange, veut plus que ça : des contreparties ; en occurrence la baisse, voire l’abandon pur et simple du reversement des recettes de communication que fait l’opérateur français à Apple pour chaque appel (ces versement peuvent atteindre la barre des 30%). Dans ce sens, deux responsables de haut niveau d’Orange (précisement le directeur exécutif et le directeur commercial de l’opérateur) se sont rendus la semaine dernière aux Etats-Unis ; objectif de la mission renégocier les clauses du contrat qui lie l’opérateur à l’équimentier ; et pourtant, ils niaient l’existence de cet impasse commercial et cet échec de RIO : « tout se passe très bien ! ». La France est à priori en voix de s’aligner à l’Allemagne et la Grande-Bretagne où T-Mobile et O2 ont déjà annoncé d’importantes baisses de prix de façon à offrir l’iphone à moins de 100 euros (grâce aux subventions). L’enjeux est de taille pour la firme Califorienne : ses responsables comptgait écouler 10 millions d’exemplaire avant la fin de 2008 ; alors que les vente ont à peine atteint 4 millions dont 100000 exemplaire en France par Orange et ce malgré l’effet fête de fin d’année aidant et la saga cacaphonique qui a accompagné le lancement de l’iphone. Désormais, l’iphone jusqu’à nouvel ordre est en demi-échec en France ! Enumérons les raisons :
- la cible ado est dore et déjà bien équipée en terminaux Média : ipod, archos…
- la cible pro est plutôt orienté Htc, glofish surtout avec le lancement des forfaits data illimités par les opérateurs concurrents d’Orange
- le prix élevé de l’iphone
- la culture : ce qui réussit aux Etats-Unis ne réussit pas de la même façon en Europe ; plusieurs sont les exemples qui en témoignent
La prochaine station de l’iphone : l’Italie, un pays dont la physionomie est similaire à celle de la France. Wait and See !
Links to : innovation SVP

2008-04-11

1' minute IS Architecture / 1 minute Architecture SI : devoted to Ajax/dédié Ajax

Ajax est il un framework qui a profité de l'effet mode et de la ruée des entreprises vers le déploiement des nouveaux gadgets pour favoriser la croissance ou un véritable framework qui répond à des besoins imposés par la diversification des canaux et l'innovation ? D'emblée, les deux hypothèses sont vraies. Mais sur le plan architectural c'est la deuxième hypothèse qui doit être retenue. En fait, la saga qu'affichent certaines entreprises vers le déploiement des nouvelles technos et des nouveaux framework entraînent l'aboutissement à des SI très complexes et difficiles à maintenir. Rappelons le, un bon architecte est celui qui se laisse guider par l'évolution des besoins plutôt que l'évolution de la techno. Les technos ne sont que des moyens et pas l'inverse. Revenons à notre problématique : la force d'Ajax réside dans sa capacité à faire exécuter les interfaces au niveau des clients tout en garantissant un rafraîchissement partiel des interfaces là où le besoin se présente. Ce étant, Ajax reste une solution très efficace pour les applications J2EE dont les clients sont riches ou les clients qui nécessitent des va et viens fréquents vers le serveur qui les a infantés. Le développement ahurissant du web sociologiques, le besoin croissant de développer des applications qui gèrent le Multimédia (vidéo, image, son, ...) et le besoin d'accéder à l'info en temps réels (notamment pour le cas des réseaux d'information, la géolocalisation, la gestion du trafic en temps réel, les applications de bourse) présentent des cas typiques où Ajax pourrait vachement améliorer les performances. En en un mot, il me semble que tout ce que nous faisions avant avec les applets est à refaire en Ajax. Vue les faiblesses et les limites des Applets (sécurité, lourdise, compatibilité avec les browsers, communication exclusive avec le serveur d'origine...), Ajax se présente comme un bon successeur de ce moyen de gérer l'interactivité et le temps réel. Toutefois, comme tout framework, Ajax a des faiblesses. Nous citons la lourdise qu'engendre l'utilisation de certaines librairies dédiées Ajax et l'interférence entre la couche métier et la couche présentation que les développeurs Ajax ont tendance à adopter par soucis de facilité. Un outil incontournable qui facilite la vie en travaillant avec Ajax : Google Awt permet de gagner du temps tout en respectant les règles de la J2EE. Alarme : les décideurs en SI ont toujours horreur de dépendre de solutions appartenant à des parties tierce, mais s'il s'agit de Google (que les acteurs du monde Télécom le juge comme un concurrent féroce plutôt qu'un partenaire). Un avis perso : Primo, voulons le ou pas Google se présente aujourd'hui comme un acteur incontournable de la techno J2EE. Secondo, Google affiche un engagement sans précédent quant à la disponibilité et la fiabilité des outils et des solutions qu'ils offrent et se présente comme une Méga plateforme capable d'héberger les détails de ce monde avec ses quelques milliards d'habitants et ses centaines de milliars d'objets (faune et flore confondues). Tertio, je pense qu'il vaut mieux suivre le leader plutôt que de nager en sens inverse. Last but not least, en informatique un vieux wisdom stipule qu'il ne faut jamais créer la roue lorsqu'elle existe. Autre faiblesse d'Ajax, on se retrouve facilement avec un code de type "if clientBrow='IE' Then .... else if clientBrow='FireFox' ..." ou "if clientOS='Win' Then else if clientBrow='Mac'..."; une Cata en terme de qualité de code. En définitive, malgré des petites faiblesses Ajax présente une solution technologique architecturalement robuste et qui répond à de nombreux exigences imposées par la gestion de l'interactivité, la diversité des canaux et la richesse croissante des interfaces web. Cependant, il impératif de l'utiliser là où le besoin s'impose et pas partout; de plus il est indispensable de favoriser la maintenabilité du code et le respect des règles de la J2EE en codant Ajax. L'outil Flex d'adobe est il une solution qui complète Ajax ou une thecno capable d'évoluer pour le remplacer ?
PS: links to Innovation SVP, Qu'est ce qu'un Architecte Logiciel ?

2008-04-09

MaghrebSpace audience over the world

Countries where you are used to connect to MaghrebSpace : France, Tunisia, Morocco, Algeria, United Arab Emirates, Japan, Canada, USA, Spain, Italy, UK, Switzerland, Hungary, Portugal, Egypt... But, also Singapore, Seychelles and Russia (cocou Natacha !)
PS .: The photo below show only the April 2008 visitors locations