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Le Maghreb, une mode Economique... Une inclinaison aux exigences de la Mondialisation ! //// The Maghreb, an Economic fashion... An adhesion in the Globalization !
Après le message de bienvenue de la PDG de Micosoft Tunisie, Salwa Smaoui, Steve Ballmer (voir l'article peut importe la quantité de travail, c'est la qualité qui l'emporte) s’est d’abord déclaré heureux d’avoir pu rencontrer le Président de la République:«Un Président, a-t-il signalé, qui accorde un intérêt particulier aux nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC) et qui se tient parfaitement informé. Notre partenariat avec la Tunisie date de quelques années déjà. Nous avons ouvert il y a quelques mois un centre d’innovation Microsoft en collaboration avec les autorités tunisiennes. Je souhaite consolider notre collaboration avec la Tunisie au cours des prochaines années, et c’est le but de ma visite. Le Président de la république m’a clairement explicité la stratégie adoptée par la Tunisie dans le domaine des TIC. Une stratégie avant-gardiste qui m’a totalement séduit. Microsoft devrait apporter à ce projet tout son savoir-faire aussi bien dans le domaine technologique que pédagogique». Il a fait remarquer que «la richesse de la Tunisie réside dans ses cerveaux et ses compétences».
«La société d'élevage et d'abattage des volailles de Téboulba (Sopat), plus connue sous le nom commercial ‘‘Mliha’’, est la première entreprise retenue pour bénéficier des avantages du nouveau marché boursier alternatif, dont l'entrée en vigueur est prévue pour novembre 2007», a déclaré M. Férid Kobbi, membre permanent du Conseil du marché financier (CMF) à l'agence TAP. Pas moins de 6 entreprises industrielles seront introduites à ce marché sur un total de 14 sélectionnées dans le cadre d’un programme pilote. Celui-ci vise à aider les petites et moyennes entreprises (PME) bénéficiaires du programme de mise à niveau (PMN) à s’introduire en Bourse. Les huit restantes négocieront leurs titres sur la cote officielle et seront prises en charge par le Fonds de développement de la compétitivité (Fodec) à hauteur de 70% des coûts d’introduction. Ce marché constitue un des mécanismes mis en place par l’Etat en vue de stimuler le marché financier et d’accroître sa contribution à la mobilisation de l’épargne et au financement de l’économie. Objectif : faire passer la part du marché financier au financement de l’économie de 8% actuellement à 20% à l’horizon de 2009. La création de ce marché s’inscrit dans le cadre d’un programme cohérent qui comporte un ensemble de dispositions visant à faciliter l’introduction des entreprises en Bourse et à impulser l’investissement. Les PME tunisiennes, handicapées jusqu’ici par un certain nombre d’insuffisances (petitesse de la taille, non-ouverture du capital au public, création récente, domaine d’activité peu porteur...), peuvent, désormais, grâce au marché alternatif, bénéficier d’un financement à faible coût devant leur permettre de lever de nouvelles ressources et de consolider, ainsi, leurs fonds propres. Conséquence : l’admission au marché alternatif peut être sollicitée par une société en cours de constitution par appel public à l’épargne et par toute autre entreprise dont les titres sont répartis au moins entre 100 actionnaires ou entre cinq actionnaires institutionnels. La société admise au marché alternatif est tenue de désigner un "listing sponsor" qui peut être choisi parmi les établissements de crédits, sociétés d’intermédiation en Bourse, entreprises spécialisées en comptabilité, en finance ou en droit. Ce listing sponsor a reçu pour mission d’apporter à l’entreprise candidate au marché alternatif conseil et assistance. Il est également chargé de lui rappeler, chaque fois que cela est nécessaire, ses obligations en matière de publication des états financiers et de transparence. Autre innovation en amont, la création d’un nouveau métier financier, l’activité de teneur de marché (market maker) exercée par des sociétés d’intermédiation en Bourse, dont la mission consiste en l’achat et la vente des titres des entreprises cotées qui souffrent de problèmes de liquidités.
Le groupe Lybien Libyan Arab africa investiment Company (LAAICO) a réussi à remporter l'offre de privatisation de l'hotel Abou Nawas Tunis (59.99% détenue par la STC, Société Tunisienne de Congrès). Le dit groupe est connu par ses investissements dans plusieurs pays de l'Afrique subsaharienne, notamment en télécommunication, hôtellerie, immobilier et en industrie. On apprend de sources digne de fois que le Prince Saoudien Al Walid Ibn Talel (le nouveau propriétaire du prestigieux George V Paris) a exprimé son interressement pour le dit bien; toutefois, au moment où il préférait une action en gré à gré l'option retenue fut l'offre publique.
Luciano Pavarotti, the Italian Opera singer whose ringing, pristine sound set a standard for operatic tenors of the postwar era, died Thursday at his home near Modena, in northern Italy. He was 71. His death was announced by his manager, Terri Robson. The cause was pancreatic cancer. In July 2006 he underwent surgery for the cancer in New York, and he had made no public appearances since then. He was hospitalized again this summer and released on Aug. 25.
Dans le cadre de la couverture des besoins en ressources extérieures sur le marché international de capitaux au titre du budget 2007, la Banque centrale de Tunisie a finalisé le 1er août pour le compte du Trésor une émission obligataire sur le marché domestique japonais Samouraï pour un montant de 30 milliards de yens (soit environ 320 millions de dinars) échéant le 9 août 2027. 
TUNISIA / TUNISIE

Dimanche 24 Juin à l'ENST Paris, projection de "Kahloucha VHS" en présence de Najib belkadhi et Imed Marzouk... (à suivre)
Samedi le 14 Avril 2007,le symbole de l'ingéniosité du tunisien s'éteint : A l'âge de 81 ans, si Mokhtar Latiri nous quitte. L'Atuge, qui s'est vue privée de sa présence le 14 Avril (date qu'elle a choisie pour rendre hommage à trois prometteurs prionier du développement de la Tunisie; à savoire Mokhtar Latiri, Lassad Ben Osman et AbdelAziz Zenaidi) lui a rendu hommage lors de son Forum annuel à Paris (9 Juin 2007) : Une grande affiche portant sa photos et l'expression "Aux grands hommes la patrie reconnaissantes" fut placée à l'entrée de l'espace qui a habrité l'évènement et sa fille fut présente. En outre,
A 20h, le candidat UMP est crédité de 53% à 53,5% des voix. Sa rivale Ségolène Royal de 46,5% à 47%. L'écart serait donc de 6 points. A titre de comparaison, il était de 8 points en 1988 lors du duel Mitterrand-Chirac (54%-46%) et de 5,2 points lors de la confrontation Chirac-Jospin en 1995 (52,6%-47,4%). Les Français se sont déplacés en masse pour ce scrutin. Le taux d'abstention est historiquement bas: entre 14% et 16%, selon les différents instituts. Le taux de participation pourrait donc atteindre les 86%. Un chiffre proche des élections de 1974 (87,33%) et légèrement plus élevé qu'en 1981 (85,85%). Peu avant l'annonce des estimations, des cris de victoire fusaient déjà salle Gaveau à Paris, le lieu où sont prévues les festivités de ce soir. Plusieurs centaines de militants et sympathisant UMP, ballons bleus à la main, scandaient: "on a gagné !". Depuis 19h, de nombreuses personnalités se pressent au QG de campagne de Nicolas Sarkozy, rue d'Enghien: Jean Reno, Johnny Hallyday, Christian Clavier...Lors de sa première intervention devant les Français, juste après l'annonce de sa victoire, Nicolas a déclaré son respect à la candidate du gauche et a dévoilé son intention de promouvoir la coopération méditerranéenne. Le Maghreb, qualifié de coeur de la Méditerranée, peut jouer un rôle fondamental dans cet objectif. Wait and see !
James Gosling, the father of Java, was present in the Paris SUN Tech Days. I promise you a detailed coverage of the event (James Gosling video, an interview, dispatches, News, photos, and more... )



Innovation is dead, says conventional wisdom, no new gadgets are coming to us from the technogeeks, no big ideas that will shift the way we live and work in the same way the Internet or the cellular phone did, just to name a couple. So we are facing a time when mature companies in mature industries have no recourse other than to gobble up competitors, both large and small. But, what if it is our definition of innovation that is at fault? What if it is not necessarily about the next big thing or the newest toy ? Perhaps it is time for innovation to be redefined, simplified, and expanded so that we are focusing in what companies really need from technology and how they can use technology to move closer to their customers, better respond to customer needs, and resolve customer problems more quickly.
Fixed WiMAX will find its best uses in the third world while mobile WiMAX will become the broadband of choice in the developed world, according to a new report from West Technology Research Solutions (WTRS). The study says the technology will have 31m subscribers globally by 2010 with Africa accounting for 12 per cent of this. Given its ease of use and less stringent power requirements, fixed WiMAX will show the greatest growth in Africa. The report says
that opportuinities for fixed WiMAX are much brighter as it offers a lower coast infrastructure than wired equivalents. “WiMAX is especially well suited to applications found in emerging country markets, driven by a requirement to provide communications capability to the population in spite of limited existing infrastructure” says Kirsten West, founder and principal analyst with WTRS.After the Edge and experimental UMTS, that had been deployed, the WiMAX deployment is planned for this year in Tunisia.
What is about Web services that is driving its popularity and adoption ? First, and perhaps most important, Web services are based on widely accepted industry standards (many of which are XML-based). In this way, the Web services model is fundamentally different from previous distributed computing models such as the Common Object Request Broker Architecture (CORBA) standard and Microsoft’s Compound Object Model (COM) programming, which each essentially required that users on both ends of a distributed system run the same programs. Web services, in contrast, have no such requirements and are better suited for connecting heterogeneous systems. This means, quite simply, that Web services are well equipped to solve some of the most perplexing and expensive technology issues confronting businesses today. David Smith, vice president and research fellow at Gartner (an American research institution) said that “Enterprises that haven’t acquired Web services experience by 2009 could find themselves at a competitive disadvantage”. Furthermore, IDC estimates the Web services market by 2007 at US$21 billion.
En déchiffrant les registres de l’histoire informatique, on note l’évolution des architectures logicielles du modèle « Single Tier » vers le modèle « 2-Tiers » et de ce dernier vers le modèle « n-Tiers ».
d’un projet J2EE ou dotNET (les deux plateformes qui implémentent l’architecture « n-Tiers »), pas moins de onze profils sont nécessaires. Il s’agit de : un Architecte Logiciels, un chef de projet, un analyste métier, un layout designer, un développeur de la couche présentation, un développeur des composants métier, un concepteur de données, un administrateur de base de données, un spécialiste en migration des données, un spécialiste d’infrastructure et un spécialiste de tests et de benchmarking.
ORACLE Open World San Francisco (du 22 au 26 octobre 2006), GITEX Dubaï (du 18 au 22 novembre 2006), Med IT Tunisie (1 et 2 novembre 2006), Med IT Alger (2 et 3 avril 2007), Med IT Dakar (4 et 5 décembre 2007), Nova Tech Bamako (du 7 au 9 novembre 2006) ; ceci pour ne citer que le secteur NTIC. Ces manifestations, salons et foires figurent d’ores et déjà sur les agendas des chefs des entreprises tunisiennes. Qu’ils soient soucieux d’être en veille technologique continue, désireux de vendre leurs produits, intéressés à étendre leur s réseaux de relations où à la recherche de partenaires dans le cadre du dialogue Nord Sud et Est Ouest, ils préparent d’arrache pieds leurs participations et leurs interventions : impression de brochures, relookage de sites web, design de stand, sensibilisation d’hôtesses et de commerciaux, préparation de speechs… Basé sur l’organisation de conférences, de tables rondes et d’expositions en stands, le but de ces manifestations est de favoriser les rencontres lesquelles requièrent des bravoures communicationnelles avancées notamment la maîtrise du « savoir questionner » et du « savoir écouter ». Les coachs spécialistes préconisent le « Modèle OPEN » pour la faculté questionner et le « Modèle LEARN » pour la faculté écouter.
« Lève toi, nous avons l’éternité pour dormir » dit Omar El Kayem ; « L'oisiveté est mère de tous les vices » affirma Alain Emile-Auguste Chartier quelques siècles plus tard. Deux maximes, une appartient au registre arabo-musulman, l’autre au registre occidental. Un exemple de nos jours : Steve Ballmer, le « vrai » manager de Microsoft déclare avoir passer, à l’âge de 25 ans, des semaines de quatre vingt dix heures de travail; et ce n’est pas tout, il brisait les cordes vocales et venait d’être opéré lors d’un meeting au Japon… Il criait « Windows ! ». Ce même Ballmer (nommé « The Embalmer »), réuni à ses quelques 10 000 cadres et ingénieurs jugés en défaut de créativité et d’imagination, gesticulait, hurlait et vociférait « Pensez en Milliards ! ».
. Elles définissaient un espace minimal pour tout bureau de tout un chacun de leur personnel, multipliaient les espaces verts, « exterminaient » les odeurs acerbes et âpres, alternaient entre symphonie, aria et motet et multipliaient les visites des clowns, des psychanalystes, des kinésithérapeutes et des professeurs de yoga. D’aucunes, optaient pour les manifestations, les festivités et les colonies en collective. Outre la bonne humeur incarnée, les activités en collective permettent de faire comprendre aux participant que le but est de s’entraider et de communiquer mieux (plutôt que d’être le meilleur). Le seul risque est d’aboutir à des conclusions trop hâtives sur la personnalité de quelqu’un. Lors du dernier mondial de Foot, plusieurs chefs d’entreprises ont organisé des séances de visionnent en groupe sur des écrans géants. Cette action leur a permis de souder des équipes, de distinguer les leaders et les exécutants et de noter les profils à caractère cauteleux (un crazy de foot ne peut être qu’émotionnel devant un match de l’équipe de Tunisie au mondial).
La relation entre employé et employeur, chef de projet et subalterne, gérant et collaborateur est certainement complexe. Elle a réussi à faire couler de l’encre, à mobiliser les esprits et à drainer la foule des écrivains et des analystes.